Homélies

4ème dimanche du temps ordinaire C

Frères et Sœurs,
Ne dit –on pas que l’art du pédagogue c’est la répétition.
Il semble bien que ce soit le cas pour la liturgie de la Parole
de ce dimanche.
En effet, la première phrase du passage d’évangile
que nous venons d’entendre, à savoir :

Sainte Famille C

Frères et sœurs,
Lorsqu’on réalise - ne serait-ce qu’un peu-
ce que veut dire l’expression :
« LE VERBE S’EST FAIT CHAIR. »
Autrement dit :
LE FILS DE DIEU a fait sienne LA CONDITION HUMAINE,

cette condition humaine,
il a voulu la recevoir TOUT NATURELLEMENT
d’ une femme .....bien de chez nous.......
AFFRANCHIE de ce que l’on désigne
comme LA FAUTE DES ORIGINES DE L’ HUMANITE.

25ième dimanche du Temps ordinaire B

Frères et sœurs,
ce bref passage d’évangile que nous venons d’entendre
tient en deux paragraphes apparemment très différents
mais que nous devons bien nous garder de séparer,
nous verrons pourquoi.

2ième dimanche du temps de l’Avent C
Frères et sœurs,
concernant l’histoire de l’humanité,
l’évangile de ce dimanche nous relate un événement
de première importance.

7ième dimanche de Pâques B

Frères et sœurs,
Ce que nous venons d’entendre est un extrait
de la prière sacerdotale du Christ qui se trouve au ch.17
de l’ évangile de Jean.
Dans cette prière,
Jésus intercède pour tous ceux que le Père lui a confiés.
Son amour pour ses disciples n’a d’équivalent
que son amour pour son Père.

30ième dimanche du temps ordinaire B
Frères et Sœurs,
l’évangile que nous venons d’entendre commence par ces mots :
« TANDIS QUE JÉSUS SORTAIT DE JÉRICHO AVEC SES
DISCIPLES ET UNE FOULE NOMBREUSE… »
Nous savons, par la suite du texte
que ses disciples et cette foule nombreuse
accompagnent Jésus qui va faire son entrée triomphale
à Jérusalem….

5ième dimanche du temps ordinaire B
Frères et Sœurs,
le livre de Job dont nous avons entendu un bref passage comme première lecture
n’est pas au sens strict de l’expression un récit historique.
Le livre de Job, toute proportion gardée,
serait plus proche du genre roman.. ;
un roman où l’auteur défend
LA THÈSE DE L’HOMME MEURTRI PAR LA SOUFFRANCE
ET QUI, en fin de compte, RESTE OUVERT À DIEU.